L’intelligentsia de nos jours se voit comme une victime de la révolution, soutenant pleinement les objectifs du « mouvement de libération ». Ce n’est pas un hasard si Staline est si important pour elle et que Lénine est si peu intéressant ; ce n’est pas non plus un hasard si elle méprise l’histoire de la Russie… Son point de vue noir et blanc sur le monde rappelle curieusement la vision du monde de Lénine… N’est-ce pas parce que c’est l’intelligentsia qui a porté Lénine et la révolution ? Ce livre parle des étranges relations de mépris mutuel et de dépendance entre l’intelligentsia russe et le « nouvel ordre » soviétique.

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• Partie 2
• Partie 3

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